Un an après le décès tragique de Nanda Prasad Adhikari, qui a succombé à une grève de la faim entamée pour protester contre l’absence d’enquête sur l’homicide de son fils, justice n’a toujours pas été rendue aux victimes d’atteintes aux droits humains perpétrées pendant le conflit au Népal, ni à leurs familles.