Guinée équatoriale. Des opposants politiques arrêtés et torturés après l’attaque contre le palais présidentiel en février

Neuf membres du parti d’opposition de l’Union populaire (Unión Popular – UP), parmi lesquels l’épouse et le frère d’un dirigeant du parti, ont été arrêtés arbitrairement et sont détenus sans avoir été inculpés ni jugés à la suite de l’attaque du 17 février 2009 contre le palais présidentiel dans la capitale, Malabo. Amnesty International est préoccupée par ces arrestations arbitraires et le maintien en détention de ces personnes, dont deux au moins ont été torturées pour les contraindre à faire des aveux, en dépit de la promulgation d’une loi interdisant la torture en novembre 2006.

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