Les autorités du Tadjikistan ont confirmé leur décision de fermer une ONG de défense des droits humains, malgré les protestations de la communauté internationale – y compris de Catherine Ashton, la haute représentante de l’Union européenne (UE) pour les affaires étrangères. Amnesty International les appelle à permettre à cette organisation, nommée Amparo, de mener ses activités sans subir d’ingérence ni de harcèlement, conformément aux obligations internationales du pays.