Le 28 septembre, un propriétaire terrien accompagné d’hommes armés a violemment menacé plus de 300 personnes à Port-au-Prince, en Haïti, qui vivent dans un camp de fortune situé sur un terrain lui appartenant, depuis que leurs maisons ont été détruites par le séisme de janvier 2010. Amnesty International s’inquiète énormément pour la sécurité de ces personnes et craint qu’en cas d’expulsion, elles seront obligées à vivre dans la rue.