Papouasie-Nouvelle-Guinée. Mise à jour sur le dossier Porgera. Des sociétés reconnaissent que la police a contraint des habitants à partir de chez eux près de la mine de Porgera

Suite aux recherches effectuées sur le terrain par Amnesty International, qui a trouvé des preuves de violences policières et d’expulsions forcées de personnes vivant près de la mine de Porgera en Papouasie-Nouvelle-Guinée, la société Barrick Gold Corporation (Barrick) a déclaré à Amnesty International reconnaître aujourd’hui que des personnes qui vivaient dans des maisons en dur près de la mine de Porgera avaient été affectées par l’intervention de la police. Les filiales de la société basée au Canada possèdent 95 p. cent de la mine qu’elles exploitent en coentreprise à travers la Joint Venture de Porgera (PJV).

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