Deux ans après la mort de cinq personnes lors des émeutes de la place Sukhbaatar à Oulan Bator, les autorités mongoles n’ont toujours pas engagé de poursuites contre les policiers soupçonnés d’être responsables d’un recours excessif à l’usage meurtrier d’armes à feu au cours des affrontements, a déclaré Amnesty International.